Ce livre est pour Sophie l’occasion de clore un chapitre douloureux de son passé en entreprenant un véritable travail de deuil, une notion dont on négligeait l’importance il y a vingt-cinq ans. C’est également l’occasion de faire le point sur l’évolution des pratiques dans la prise en charge de la maladie grave et l’accompagnement de fin de vie. Par ailleurs, ce récit débouche sur un paradoxe : Comment peut-on à la fois souffrir de la disparition d’une personne et éprouver l’émergence d’une liberté intérieure qui vous incite à aller au-delà de vous-même ?